Un souffle vers l'éternité: je voudrais partager mes messages de l'au-delà
Résumé
Qui n'a jamais rêvé de parler à l'un de ses proches défunts ? De cet espoir enraciné dans la tristesse, certains font commerce et abusent de la crédulité de leurs clients. Mais loin de l'argent et des charlatans, la médiumnité - cette faculté de communiquer avec l'au-delà - est à prendre au sérieux. C'est en 1995 que Patricia Darré reçoit ce qu'elle appelle ses " possibilités ". Elle pense tout d'abord que la folie la guette mais son psychiatre est formel : elle n'est pas schizophrène mais médium. Désormais sa vie s'organisera entre son activité professionnelle - journaliste de radio - et ses capacités qu'elle met bénévolement au service des vivants et des morts. Depuis plus de quinze ans, la vie de Patricia a changé : elle est ponctuée par la présence d'esprits perdus qu'il faut secourir, de mauvais esprits qu'elle doit chasser, ou encore de messages de défunts qu'elle doit délivrer à leurs proches. Ses expériences nous amènent à découvrir le monde de l'invisible et bouleversent notre perception de la réalité. Vous aimerez aussi
Pas disponible en CD.
Lu par :
Marie-Christine Archambaud
Genre littéraire:
Philosophie/religion/spiritualité
Mots-clés:
Deuil
/
Médiumnité
/
Littérature française
/
Durée:
4h. 11min.
Édition:
Neuilly-sur-Seine, M. Lafon, 2012
Numéro du livre:
26881
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782749915715
CDU:
100
Documents similaires
Lu par : Lisette Vogel
Durée : 8h. 18min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 31723
Résumé:Lorsque mon père est décédé, j'ai placé des objets dans son cercueil. Je n'en ai parlé à personne. Puis j'ai interrogé des médiums qui disent communiquer avec les morts. Découvriront-ils de quels objets il s'agit ? C'est le test. Peut-on parler avec les morts ? Des femmes et des hommes le prétendent et en font même profession. Des milliers de gens les consultent. Ces capacités sont-elles réelles ou est-ce une illusion ? Pour répondre à ces interrogations, Stéphane Allix a testé six médiums. Les résultats sont stupéfiants et confirment ce que révèlent les recherches scientifiques menées sur ce sujet : la vie après la mort est aujourd'hui une hypothèse rationnelle. Comment devient-on médium ? Est-ce un don ou une malédiction ? Comment décrire ce qui se passe lors de la mort ? Où va-t-on après ? Consulter un médium peut-il aider au processus de deuil ? Comment éviter les charlatans ? Autant de questions que ce livre aborde, nous entraînant à la découverte d'une réalité à la fois simple et vertigineuse : il est possible de communiquer avec ceux que nous aimons au-delà de la mort.
Médiums: d'un monde à l'autre: communiquer avec les esprits? Expériences et témoignages
Gilliand, Denise
Lu par : Madiana Roy
Durée : 6h. 54min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18269
Résumé:Comment devient-on médium? Comment peut-on recevoir des images de l'au-delà, entendre des paroles de défunts? Que vous y croyez ou pas, ce livre vous propose de vous laisser guider par la curiosité. De découvrir le monde des médiums tel qu'ils la décrivent. Celui de Céline Boson, ses contacts, sa conversion et sa confrontation avec des scientifiques. Celui de l'Eglise spiritualiste anglaise, et ses révérends qui forment des centaines de médiums européens. Les expériences cliniques du magnétiseur Hannes Jacob, fondateur de l'Ecole suisse de médiumnité. Les communications par radio avec "nos chers disparus", en compagnie du Toulousain Christophe Barbé. Les témoignages de médecins qui coopèrent avec des guérisseurs spirituels, ou celui du prêtre François Brune, auteur du best-seller "Les morts nous parlent". Si vous voyez ou avez vu le documentaire "MEDIUMS, d'un monde à l'autre", ce livre en est le prolongement, largement fondé sur les entretiens avec les protagonistes du film. Comment se vit la "clairevoyance" ou le "clair ressenti"? D'où vient l'énérgie de la "guérison spirituelle"? Que ressent le médiums en transe? Comment reçoit-on des messages en écriture automatique? Et que disent ces messages que (peut-être) le monde des esprits nous adresse à tous? La médiumnité n'a jamais été prouvée de manière incontestable. Mais on n'a jamais prouvé non plus l'inexistence d'un au-delà. Et si c'était vrai...? Tiré du quatrième de couverture, recopié par Naïs Gueissaz, BSR
Lu par : Manon
Durée : 11h. 43min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 31986
Résumé:L'auteur nous présente une série de faits étonnants, qui ont pourtant tous une explication : un poussin qui attire vers lui un robot par la pensée, une hostie en lévitation, un arbre qui se déplace tout seul, un militaire qui dessine dans les moindres détails un sous-marin ennemi construit en secret à des milliers de kilomètres de là, etc.
Lu par : Monique Gay
Durée : 10h. 47min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 33377
Résumé:Pourquoi est-il devenu si difficile de consoler ? Longtemps considérée comme une prérogative de la philosophie, la consolation semble désormais réservée à la psychologie ou à la religion. Car contrairement aux Anciens, nous ne croyons plus que la raison possède le pouvoir de réconforter. L'abstraction des savoirs modernes a plutôt quelque chose de désespérant, comme si la vérité elle-même était devenue affligeante. Pour les tristesses ordinaires, on s'adresse donc à un thérapeute ; pour les deuils d'exception, on convoque un dieu. Le besoin de consolation est pourtant à la source de pratiques innombrables : chants, rituels, commémorations... Acte social, la consolation est une manière d'être ensemble malgré la séparation. On console une douleur que l'on ne partage pas, mais sur laquelle on cherche à agir. Il s'agit de convaincre l'autre qu'il est possible de vivre au-delà du point où cela semble impossible. En cela, la consolation intéresse la philosophie au plus haut point. Elle entretient un rapport avec les pertes qui constituent notre temps : la disparition des anciens modèles communautaires suscite des désirs réactionnaires de restauration ou des abandons mélancoliques au ressentiment. Refusant cette alternative, ce livre plaide en faveur d'une politique de la consolation qui permette d'affronter collectivement ce qui nous manque et que l'on a tant de mal à nommer. En pensant la consolation, on fait droit au pouvoir subversif du chagrin que ni les injonctions au deuil ni les impératifs de résilience ne parviennent à étouffer.
Lu par : Johanne Ricard
Durée : 4h. 29min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 37752
Résumé:Variations sur un rapprochement inattendu entre l'animal et l'humain. En dix chapitres fragmentaires, le récit offre des portraits d'animaux sauvages, domestiques, réels ou imaginaires, mais aussi celui de la mère de la narratrice, hantée par la mort de deux nourrissons. Une réflexion sur l'humanité, la maternité, l'adoption et le deuil.
Lu par : Manon
Durée : 4h. 4min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 34721
Résumé:Si la mort est un grand thème de la philosophie, la mort des autres l'est beaucoup moins. L'écrivain Philippe Forest, dont toute l'oeuvre est construite autour de la perte de sa petite fille, et le philosophe Vincent Delecroix, spécialiste de Kierkegaard, remettent le deuil au coeur de l'existence humaine. Leur conversation part d'une colère commune contre l'expression galvaudée "faire son deuil". Interrogeant la philosophie, la religion, la littérature, ils donnent, non des remèdes, mais des ressources pour penser "ce qui est perdu". Dans ce beau dialogue, il s'agit au fond de se confronter à "l'impossible réel" et, tel ce personnage de Faulkner, "entre le chagrin et le néant", de préférer le chagrin.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 36min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 16150
Résumé:C'est aux croyances sur l'au-delà qu'il s'attaque ici, en se livrant à une véritable Consolation parodique. Afin de ridiculiser et de mettre à bas les préjugés, les mythes et les pratiques funèbres, Lucien renverse les lois du genre en adoptant le point de vue d'un jeune défunt censé consoler son père. Le mort, paradoxalement, parle et se moque des lamentations des vivants. Pour démontrer que leur attitude est stérile, ridicule, que son sort est enviable, et qu'ils feraient mieux de se réjouir de son décès plutôt que de le déplorer, il mobilise et détourne avec ironie les lieux communs de la littérature consolatoire, ceux mêmes que l'on rencontre au fil des Consolations de Boèce, de Plutarque et de Sénèque, traduites également dans cette collection. Dans ce petit traité plein d'humour, Lucien se livre à une critique acerbe des funérailles...
Lu par : Jean-Philippe Deschamps
Durée : 5h. 49min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 69871
Résumé:Etre rabbin, c’est vivre avec la mort : celle des autres, celle des vôtres. Mais c’est surtout transmuer cette mort en leçon de vie pour ceux qui restent : « Savoir raconter ce qui fut mille fois dit, mais donner à celui qui entend l’histoire pour la première fois des clefs inédites pour appréhender la sienne. Telle est ma fonction. Je me tiens aux côtés d’hommes et de femmes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits. » A travers onze chapitres, Delphine Horvilleur superpose trois dimensions, comme trois fils étroitement tressés : le récit, la réflexion et la confession. Le récit d’ une vie interrompue (célèbre ou anonyme), la manière de donner sens à cette mort à travers telle ou telle exégèse des textes sacrés, et l’évocation d’une blessure intime ou la remémoration d’un épisode autobiographique dont elle a réveillé le souvenir enseveli. Nous vivons tous avec des fantômes : « Ceux de nos histoires personnelles, familiales ou collectives, ceux des nations qui nous ont vu naître, des cultures qui nous abritent, des histoires qu’on nous a racontées ou tues, et parfois des langues que nous parlons.
Lu par : Anne Tardy
Durée : 4h. 16min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 75299
Résumé:L'auteure s'intéresse à la disparition des êtres chers et à la manière d'aborder leur absence. Dans la continuité de son travail d'exploration du réel, elle constate que le chagrin conduit le coeur vers la littérature et la philosophie dans l'espoir d'y trouver une consolation, mais que les mots des autres ne consolent pas. Le drame serait ainsi une suspension provisoire de nos soucis.
Lu par : Etienne Maignen
Durée : 18h. 36min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 22378
Résumé:Les sciences humaines d'aujourd'hui sont plus que du domaine du savoir : déjà des pratiques, déjà des institutions. Michel Foucault analyse leur apparition, leurs liens réciproques et la philosophie qui les supporte. C'est tout récemment que l'«homme» a fait son apparition dans notre savoir. Erreur de croire qu'il était objet de curiosité depuis des millénaires : il est né d'une mutation de notre culture. Cette mutation, Michel Foucault l'étudie, à partir du XVIIe siècle, dans les trois domaines où le langage classique - qui s'identifiait au Discours - avait le privilège de pouvoir représenter l'ordre des choses : grammaire générale, analyse des richesses, histoire naturelle. Au début du XIXe siècle, une philologie se constitue, une biologie également, une économie politique. Les choses y obéissent aux lois de leur propre devenir et non plus à celles de la représentation. Le règne du Discours s'achève et, à la place qu'il laisse vide, l'«homme» apparaît - un homme qui parle, vit, travaille, et devient ainsi objet d'un savoir possible. Il ne s'agit pas là d'une «histoire» des sciences humaines, mais d'une archéologie de ce qui nous est contemporain. Et d'une conscience critique : car le jour, prochain peut-être, où ces conditions changeront derechef, l'«homme» disparaîtra, libérant la possibilité d'une pensée nouvelle.
Lu par : Manon
Durée : 7h. 6min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 33314
Résumé:Ratio et fides, raison et foi avaient, jadis, été jugées complémentaires. Mais en se dissociant de la révélation biblique, la réflexion philosophique a ouvert la voie de leur opposition. Cet ouvrage interroge le statut de la foi dans une société plurielle et sécularisée, marquée par une excommunication politique du religieux. Entre raison politique (publique) et conviction religieuse (privée), Jean-Marc Ferry, grand philosophe contemporain, envisage un chemin réciproque, qu'il nomme « perlaboration ». S'y dessine la perspective d'un dialogue nouveau entre croyants et non-croyants, où la question de Dieu est dépolémisée, la conviction religieuse justifiée au regard de l'esprit critique, tandis que la fluidification de l'espace social favorise l'activation d'alternatives civilisationnelles. La foi, c'est en fin de compte la raison aussi, une raison qui prend le risque existentiel de donner sa confiance au réel. INÉDIT
Lu par : Ghislaine Pérésan
Durée : 32h. 3min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 25520
Résumé:«L'être ne saurait engendrer que l'être et, si l'homme est englobé dans ce processus de génération, il ne sortira de lui que de l'être. S'il doit pouvoir interroger sur ce processus, c'est-à-dire le mettre en question, il faut qu'il puisse le tenir sous sa vue comme un ensemble, c'est-à-dire se mettre lui-même en dehors de l'être et du même coup affaiblir la structure d'être de l'être. Toutefois il n'est pas donné à la "réalité humaine" d'anéantir, même provisoirement, la masse d'être qui est posée en face d'elle. Ce qu'elle peut modifier, c'est son rapport avec cet être. Pour elle, mettre hors de circuit un existant particulier, c'est se mettre elle-même hors de circuit par rapport à cet existant. En ce cas elle lui échappe, elle est hors d'atteinte, il ne saurait agir sur elle, elle s'est retirée par-delà un néant. Cette possibilité pour la réalité humaine de sécréter un néant qui l'isole, Descartes, après les Stoïciens, lui a donné un nom : c'est la liberté.»